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« A la mode chez nos voisins allemands, la profession de « feel good manager » a été créée pour veiller au bien-être des travailleurs. Poudre aux yeux – pour mieux exploiter les employés – ou réelle innovation ? »
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La Cour de cassation déclare illicite la méthode d’évaluation dite du ranking par quotas consistant à classer chaque salarié dans un groupe (ex. : groupe A : performant, groupe B : moyennement performant, groupe C : peu ou pas performant), chaque groupe devant impérativement rassembler un certain pourcentage de salariés établi à l’avance (ex. : groupe A : 20 % au maximum, groupe B : 70 % et groupe C : 10 % au minimum). Cour de cassation, chambre sociale, 27 mars 2013, N°11-26539
A noter qu’est a priori licite la méthode du ranking simple, c’est-à-dire le classement par groupes sans obligation de respecter des quotas préétablis, comme l’avait d’ailleurs jugé la Cour d’appel de Grenoble. CA Grenoble, 13 nov. 2002, n° 02-02794
« En période de crise, les entreprises se demandent de plus en plus comment rester efficaces et performantes malgré la pression des coûts et comment gérer les collaborateurs médiocres. Souvent, elles choisissent la méthode probablement la plus simple: elles virent le collaborateur le plus mauvais. Mais cette solution n’est pas vraiment si facile. (…)
Un employeur peut prendre des mesures juridiques contre un «Low Performer» uniquement s’il peut prouver que le travail fourni est insuffisant (…) »
« (…) pour Bertrand Jacquier, la participation des collaborateurs est sans doute l’aspect le plus dévoyé du lean management : « En gros, on demande au salarié d’intensifier lui-même son travail et d’appauvrir ses tâches au seul profit de l’entreprise. » C’est effectivement ce qui se produit quand le lean est déployé dans une seule logique de réduction des coûts : « En France, on a tendance à engager un projet lean dans l’urgence, pour faire face à la crise, observe Jean-Luc Ledys. On se retrouve alors dans la pratique la plus négative qui soit, entièrement focalisée sur la réduction des coûts (…)
(…) pour la présidente* de l’Institut Lean France (association créée en 2007 pour diffuser la culture du lean), ils sont dus à un dévoiement du lean management : « Certains dirigeants n’en retiennent que les volets « gains de productivité » et « réduction des coûts ». Ils les enrobent d’un vague discours sur l’écoute des salariés pour aboutir à la vision perverse d’un lean Pinocchio qui n’a plus rien à voir avec l’original. »
*Présidente de l’Institut Lean France (association créée en 2007 pour diffuser la culture du lean)
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« « Siffler en travaillant », chantait-on dans Blanche-Neige, accréditant l’idée que l’on travaille mieux quand on est heureux. Ce qui paraît évident. Reste à savoir ce qui met un travailleur de bonne humeur. Sa rémunération ? Ses stock-options ? Ses primes et augmentations ? (…)
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« Difficile de travailler pour un dirigeant qui doute sans cesse de la fidélité de ses troupes. Irrationnels, les patrons paranoïaques sont de piètres chefs d’équipe. Parfois, ils en arrivent à détruire leurs meilleurs seconds(…) »
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« Quand on fait confiance aux gens, ils ont une capacité à se dépasser », commence Bertrand Collomb, président de l’Académie des Sciences morales et politiques. L’Académie prône le management humaniste, de « Care », fondé sur la performance et l’innovation. Alors comment de nos jours organiser l’entreprise pour qu’elle réponde à cette philosophie ? Est-ce que cela marche réellement ? »
Lire la suite sur le blog des ressources humaines de Christel Lambolez